I once tried this with common salt, using the summer sun as my heating source the next day. After a couple of days, some of the salt was turning a golden color, and in a couple weeks time it was getting more rustic red and yellow. Those particles tasted neither like salt, nor any sort of metal i know of - but rather more organic, like earth, but... "clean"... hard to describe.
Regardless, it seems to be akin to making the volatile Spirit within the lunar water more fixed and corporeal. Can also be done by growing the salts from the water itself (which is done in a lot of dew works).
~Seth-Ra
Hi Seth-Ra and every body
very interesting that you describe the alchemical expressing alternate irradiation with rays of the moon and sun that you describe with common salt
now some of my friends (with i have work) they have worked with it but to put the moon in deliquescence worked as attached below using high-temperature calcination of the salt for he say opewn it before exposing it to the moon at night (they call it the salt solute paracelsi and is a method very similar the practice of dry-tel tresor tresor of grosparmi i put this instruction under (soory i have only in french) )
but my friends while working with common salt, however, are not ever going to put the salt directly to the deliquescence of the full moon nights when the crucible is not treating it as a document attached here from Salt soluterench
but you did not like to use high temperatures, so for put this sal common in deliquescence you impregnate this salt common with dew that you collet apart ? by the initial disintegration and then exposing it repeatedly to cycle to solve god night with the moon and coagulates with the sun during the day (every full solve and coagula of my friends consider them a complete Eagle ph) and in doing so then you could get a real magnet attractive went every cycle solve and coagulates into deliquescence?
(of this operativity and some result about it i have also some my and my friens photo but i dont know ?attach it in the thread forum?)
my best regards alfr
La préparation du sale soluto
La calcination qui se fait par la fusion, n’est autre chose que la fonte du sel décrépite dans un creuset dans le four à vent, si on garde ce sel fondu dans un lieu chaud et sec, il se garde en masse dont on se sert au besoin. Mais si on l’expose à l’air, il se résout en eau, qu’il faut filtrer et la mettre dans une bouteille, c’est ce que Paracelse appelle Sal solutum et aqua salis, l’eau de sel ou le sel résout.
La croix donne encore un dissolvant et une médecine tout extraordinaire, par deux sujets très universels, que la nature nous met devant les yeux ; savoir par l’eau de la mer inférieure coagulée, et coagulante, ou sel de mer ; et par l’eau de la mer supérieure libre et dissolvante, ou la rosée… Avant d’entreprendre cette opération, rendez le sel de mer fort fusible, et munissez-vous d’un bon lut, qui résiste au feu et à l’eau. Si donc vous dissolvez ce sel de mer fusible, qui est une eau coagulée, par le moyen de l’eau supérieure de vertu résolutive, qui est la rosée, celle-là fera entrer celle-ci en putréfaction à un feu lent ; et vous découvrirez cette putréfaction à l’œil. Si vous répétez cinq ou six fois ce mélange de la rosée avec l’eau coagulée de la mer, par une lente digestion, vous extrairez toutes les vertus, que le sel de mer a reçues depuis la création, jusqu’à cette heure ; et que l’irradiation des astres et la réverbération des flots ont alcalisées : et vous ne serez pas fort éloigné d’un dissolvant très noble, très médicinal et très précieux ; dont une partie pourrait peut-être bien dissoudre une partie de quelque métal, ou minéral, que vous lui joindrez : ce dissolvant simple et naturel pourrait mériter à bon droit le nom et l’effet d’un Alkahest, qui a réuni en soi les forces dissolvantes d’en-haut, avec les forces coagulantes d’en-bas ; et dans lequel est régénéré le feu, qui paraît dans les eaux marines avec l’eau de la rosée, fruit de l’aurore, pleine des vertus célestes : de sorte que par là vous avez une eau vivante, régénérée et régénérante, figure de la mer cristalline, ou eau mêlée au feu de l’Apocalypse – chapitres 4 et 15, et d’Ézéchiel – chapitre 47 – qui est le dernier bain de régénération, pour approcher du trône de Dieu.
1 Nicolas Lefèvre, Cours de chimie pour servir d’introduction à cette science, tome 3 (1751).
2 Douzetemps, Le Mystère de la croix de Jésus-Christ et de ses Membres, Sébastiani, 1975.